
L’origine d’un rituel
My Tahara est née d'une idée simple : redonner aux femmes un pouvoir discret mais essentiel, celui d’un rituel intime, pur, profondément sensoriel. Très tôt, j’ai compris que dans le rythme souvent effréné du quotidien, il y a des gestes qui deviennent des refuges. Une douche, un parfum de peau, une pause pour soi, des instants qui, mis bout à bout, recréent une forme de sérénité.
Cette idée ne m’a plus quittée. J’ai imaginé un soin capable de traduire ce besoin intérieur de calme et de douceur. Un soin qui ne ment pas, qui ne cherche pas à plaire ou séduire, mais qui apaise. Et c’est naturellement à Grasse, terre de parfumeurs et de traditions, que j’ai trouvé l’écho de mon intuition.
Je ne voulais pas d’un produit qui transforme mais qui invite à revenir à soi.
Une émotion avant tout
Il ne s’agit pas d’un artifice mais d’un ressenti. La fraîcheur d’un matin calme, la sensation d’une peau nettoyée avec soin, cette assurance presque imperceptible qui nous habite lorsqu’on se sent bien. Voilà ce que je cherche à préserver dans chaque flacon.

La signature sensorielle
Ce gel, je l’ai formulé et fait fabriquer à Grasse. Il associe un musc blanc pur à des accords délicats, déclinés en trois univers olfactifs : Fleur de coton, Barbe à papa et Cerise. Chaque senteur évoque un souvenir flou, une douceur familière, un moment qu’on ne saurait vraiment nommer mais qu’on reconnaît au creux de la mémoire.
Sa texture légère glisse sur la peau sans coller. On l’applique sur les zones chaudes du corps, là où le parfum s’anime. L’odeur ne crie jamais. Elle accompagne pendant près de 24 heures.
Une éthique claire
Pour moi, il n’y a rien à cacher. Le soin intime mérite une transparence absolue. C’est une promesse que je ne prends pas à la légère. Chaque formule est testée dermatologiquement, sans alcool, sans perturbateurs endocriniens.

Une fabrication exigeante, profondément française
Le laboratoire avec lequel je travaille est installé à Grasse, au cœur même d’un territoire où l’on ne parle pas du parfum comme d’un produit, mais comme d’un art. Chaque lot est fabriqué en petite série. Ce n’est pas un hasard. Cela permet de maîtriser chaque détail, de veiller à la stabilité de la formule, à la fidélité des notes.


